Un coaching, mais pour quoi faire ?
Pour réagir face à une situation ponctuelle difficile, un événement imprévu, qu’il soit interne ou externe à l’individu et/ou à l’organisation.
Pour préagir, c’est à dire faire face à un changement prévisible qui va nécessiter une adaptation.
Pour proagir, c’est à dire agir pour provoquer des changements souhaitables.
Ces trois attitudes actives seront le terreau de décisions qui amèneront à un développement de votre potentiel ou une évolution de votre trajectoire professionnelle, qu’elle se situe au niveau de l’individu et/ou de l’organisation.
COACHING
Dès l’âge de 18 ans et mes premières expériences d’entraîneur, je me suis questionné sur la manière dont je pouvais agir pour que les apprentissages soient plus efficaces et que l’autonomie ainsi que la performance se développe rapidement. Ces premières expériences ont conditionné ma passion pour l’enseignement et plus largement les questions de transmission de même qu’elles ont développé chez moi cette passion de la détection et du développement des potentiels qui m’a amené à conduire des équipes dans le monde professionnel.
L’exercice de l’accompagnement des individus et des équipes durant ces 30 dernières années m’a amené à explorer différentes postures telles que celles de l’entraineur, du tuteur, du mentor ou encore du conseiller et bien évidemment du manager et du dirigeant. En 2017, j’ai découvert la posture du coach et l’ensemble des bénéfices qu’elle pouvait apporter dans l’accompagnement d’un individu et/ou d’une organisation.
Le coaching représente pour moi l’action d’accompagner une personne en quête de développement de son potentiel, par des solutions qui lui sont propres, pour atteindre un niveau de performance désiré. Pour cet accompagnement, l’usage des techniques du coach repose sur l’écoute active, l’empathie ou encore les techniques de questionnement tout en respectant l’identité profonde du coaché et de son écologie.
De toute cette expérience des différentes postures d’accompagnement, je me suis forgé la conviction intime que la performance opérationnelle (à savoir un minimum d’efforts pour un maximum de résultats) est le produit de la motivation (finale, instrumentale, extrinsèque, intrinsèque) et des compétences (savoirs, savoir-être, savoir-faire) et que la motivation et les compétences donc la performance opérationnelle ne peut germer en dehors d’une terre de confiance. PO + DP = M x C <=> CP®.
Le coaching au service du développement du potentiel et de la performance opérationnelle de l’individu et/ou de l’organisation, dans le respect de l’identité du coaché et de l’éthique du coach, voilà le chemin que je vous propose d’explorer au travers de mon accompagnement.
